La recherche de la puissance implique d’avoir la connaissance cachée qui permet de comprendre le fonctionnement des énergies.
La nature nous offre via les plantes des essences qui permettent d’avoir une bonne santé, mais aussi certains pouvoir, ou même de nous aider à débloquer des situations sociales.
La connaissance des propriétés des plantes confère un pouvoir. Car cela nous permet comme le chimiste de pouvoir concocter des combinaisons savantes orientées dans des domaines précis.
Dans les cités urbaines, vous pouvez utiliser des huiles essentielles. C’est le même principe sous des conditionnements différents.
Dans l’univers, dans la nature, il y a une structure sous-jacente inhérente à chaque règne, chaque espèce de vie, chaque élément de la création.
La structure énergétique de base est la même et se répète dans tout en s’adaptant.
C’est donc en étudiant les fondements dans tout que nous pouvons percer le cœur des mystères. Tout se dévoile à nous quand nous prenons la peine de bien observer.
Toutes les plantes de la nature entrent dans un même schéma de classification.
Ce schéma est aussi celui avec lequel nous arrivons à comprendre les attributs de chacune des divinités de khemet.
Dans la phrase du Trismégiste, “ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ” nous devons, au-delà des apparences de formes, déceler les connections énergétiques existantes entre le subtil et l’épais. Tout est lié, car tout est constitué avec le même schéma énergétique.
Nous aurons donc des plantes avec des propriétés d’Asita, d’autres avec des propriétés d’O-SAH-RÉ. Les plantes avec les énergies d’AMON-Ré, de Seth, existent aussi à l’évidence comme celle de Dhehuty ou de Hathor.
Se connecter aux divinités, c’est se brancher à la source de l’énergie. La connection est forte si nous avons la bonne essence naturelle.
Les couleurs des tenues lors des rituels entrent aussi dans ce contexte d’imbrication énergétique entre ce qui est en haut et ce qui est en bas.
Cela nous aide à réaliser le miracle de l’unité.
Tout cela, peut être transposé dans le domaine scientifique de la création pour de nouvelles technologies, pour comprendre les technologies existantes.
Maintenant après, ce que nous ferons avec nos inventions, dépend de notre conscience.
Le danger vient fait de ce niveau. Autant, on peut créer pour améliorer les conditions de vie, autant, on crée aussi pour détruire, pour tuer.
Le véritable combat de notre époque se livre au plan de l’intelligence, de notre capacité d’inventer, mais aussi de se définir une vision.
Sans vision, on est en mode pilotage à vue.
On ne fait que réagir face aux situations présentent et on est incapable d’anticiper.
Un mélange de visions donne aussi lieu à une véritable cacophonie qui ne permet pas d’avancer et nous fait perdre du temps.
Une vision doit donc être forte pour pouvoir faire du chemin.
À très bientôt.
Djehuty Côte d’Ivoire
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