Qui nous sommes, se résume souvent à ce que voulons nous.
Je veux être riche, je veux être heureux, je veux être le plus intelligent, je veux être le plus fort, et je veux et je veux, etc., etc.
Un autre type de réponse est ceci :
Je veux que le monde soit meilleur, je veux un monde de justice, je veux que chaque père puisse être heureux avec sa famille, je veux apporter mon aide pour l’amélioration de ceci ou de cela, etc.
Si vous appartenez à ceux qui donnent le deuxième type de réponse, vous ne parlez pas trop, mais vous consacrez chacune de vos actions à rendre le monde meilleur.
Tant que nous n’avons pas compris que c’est l’autre qui donne du sens à notre vie, nous tournons en rond dans la vie.
Parce qu’aucune plénitude ne peut être atteinte par des actes égoïstes.
C’est ce qui explique souvent ce sentiment de vide qui nous envahit lorsque nous obtenons pour nous-même quelque chose que nous avons tant souhaité.
Un désir après un autre et nous voilà dans un cercle vicieux dans lequel nous ne pouvons pas nous libérer.
Après la maison de nos rêves, il faut chercher une maison de campagne pour les week-ends.
Après la maison de campagne, pourquoi pas acquérir un bateau de plaisance.
À moindre ou grande échelle, les désirs restent toujours les désirs et tourmente l’esprit du nanti comme celui du démuni.
Mais, tous les deux demeurent d’une certaine façon dans le même enclos.
Lorsque vous enlever le fardeau des épaules, d’une personne à qui vous ne devez absolument rien, cela vous procure une fierté et cette plénitude énergétique des grandes âmes.
Soyez grand, pas pour vous, mais pour les autres. L’humanité est une famille.
Travaillez à protéger le bonheur des gens simples de votre communauté.
Ceci, est le secret des offrandes dans les travaux, animistes.
Tout bon rituel animiste, commence par une offrande.
À très bientôt
Djôotigui Côte d’Ivoire
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