Mon ami le poète,
Lorsque le ciel rougeoyant nous offre son calice
Tel un feu ardent
Destiné à raviver chaque étincelle de nos Êtres
Les espaces s’affranchissent
Et ceux qui à nos cœurs sont si chers
Sont invités à boire à la coupe divine.
Nul espace qui ne soit insondable
Nul temps infranchissable
Nulle matière insaisissable
Là d’où nous venons
Les humeurs sont éphémères
Et les danses sont éternelles
Fastidious answer
back in return of this question with firm arguments and describing all about that.