Un seul peuple, une seule destinée.
Cela ne peut être possible sans une seule spiritualité.
Le corps spirituel du peuple est la matrice à partir de laquelle toutes les connections se font d’abord au niveau mental, ensuite au plan émotionnel puis au stade de la matière.
Lorsqu’une personne n’arrive pas à coordonner avec cohérence l’agencement de tous ces quatre corps, on la qualifie pour perturber au mieux et au pire de fou.
Lorsqu’on reproduit cette incohérence de ces quatre corps à l’échelle globale de la matrice, on dira que nous avons affaire à un peuple embrouillé.
À une échelle moindre, cela peut se gérer, mais lorsque cette fracture est profonde, on a affaire à une vraie tragédie.
La nécessité de revenir aux cultes des divinités de khemet avec en-tête de proue Osiris, est plus qu’une urgence vitale.
Il ne s’agit pas de créer un culte nouveau. Nous retournons simplement aux cultes qui ont toujours été ceux de notre peuple, et cela, depuis des millénaires.
Osiris, ASET, MAAT ont des visages humains et ne portent pas de masque parce que leur énergie spirituelle a été densifiée pour notre cause.
La notion de sacrifice est le fait de perdre un peu de ce que nous avons pour permettre à d’autres d’exister ou de faciliter leur vie.
Nous devons donc comprendre que les divinités qui ne portent pas de masques ont sacrifié un peu de leur lumière pour nous aider dans notre processus évolutif.
AMON, AMA, lui est le Nyama (la force de vie, la matrice spirituelle) de la famille divine.
C’est pourquoi la dénomination ” du caché ” lui convient.
Les divinités telles que Thoth, Seth, Herou porte des masques parce que leur Nyama ne peut pas être perçu par les hommes que nous sommes au risque de causer de sérieux dommages énergétiques.
Ce message recèle un grand secret que vous devez découvrir par vous-même.
Les masques africains fonctionnent avec le même principe.
À ce stade, la sentence est la mort lorsque des règles sont enfreintes.
Vous comprenez pourquoi je ne peux pas en dire plus sur le sujet.
La littérature fait place à des forces opératives agissantes qui ont un degré de tolérance 0.
C’est une des raisons pour lesquelles nos traditions privilégient l’oralité à l’écriture pour la transmission des enseignements dans les bois sacrés.
Il en est ainsi pour les enseignements initiatique de niveaux supérieurs.
L’initié doit lui-même aller à la source de la force. C’est même ce qui donne du sens à son initiation.
À très bientôt.
Thoth Côte d’Ivoire
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