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Coronavirus : les scientifiques appellent les couples à porter des masques lorsqu’ils font l’amour

La promiscuité pendant l’amour augmenterait le risque de transmission du virus

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Ce monde part franchement à l’envers. Qu’est-ce que les chercheurs prétendent avoir trouvé comme solution pour se protéger de se soit disant virus qui tue plus que la pauvreté, les anciennes maladies qui sont depuis dans ce monde, a vrai dit RIEN. 

Après avoir imposé le port de masque, ne pensez pas que vous êtes encore libre, mais ils ont eu des nouvelles pour vous. Même chez vous ça traque.

Alors que la menace d’une seconde vague de coronavirus plane toujours sur le continent européen et ailleurs, il est aujourd’hui plus que jamais nécessaire de freiner la transmission du virus en respectant les consignes sanitaires. Si les gestes barrières nous permettent de nous protéger en public, il semblerait que ceux-ci pourraient bien s’immiscer dans notre intimité. The Independent rapporte que des chercheurs de l’université de Harvard recommandent aux couples qui ne vivent pas ensemble de porter des masques durant leurs relations sexuelles.

Chaque jour, nous en apprenons un peu plus sur le coronavirus grâce au travail de la communauté scientifique. C’est grâce à cela que nous avons pu rapidement comprendre comment le virus se transmet et donc comment pouvoir l’éviter.

Après que le professeur Paul Hunter, un éminent scientifique britannique, ait conseillé aux couples d’éviter de faire l’amour pendant l’épidémie de coronavirus, c’est une étude récente de la prestigieuse université de Harvard, relayée par The Independent, s’est intéressée au risque de transmission du virus durant une relation sexuelle.

La promiscuité pendant l’amour augmenterait le risque de transmission du virus

Le coronavirus n’a pas fini de changer notre quotidien. Après s’être attaqué à l’espace public où certains gestes barrières sont nécessaires pour empêcher la propagation de la maladie, il semblerait que notre espace le plus intime va devoir lui aussi se plier à la réalité du virus.

C’est en tout cas se suggère cette étude menée par le Dr. Jack Turban de l’université de Harvard. Bien qu’il n’y ait aujourd’hui aucune preuve que le SARS-CoV-2 soit sexuellement transmissible, la promiscuité évidente pendant l’acte serait à elle seule suffisante pour risquer la transmission du virus d’un partenaire à l’autre. Du point de vue des scientifiques, il est donc essentiel de ne pas ignorer cet aspect de nos vies et de pouvoir prendre des précautions.

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Quelles pratiques sexuelles sont le plus à risque ? 

Les chercheurs ont alors tenté de lister les pratiques sexuelles courantes et leur degré de risque d’infection. Au plus bas de cette liste : l’abstinence. C’est celle qui présente le moins de risque de transmission et cela se comprend assez aisément : moins il y a de contact avec autrui, moindre est le danger. La masturbation répond d’ailleurs aux mêmes critères et reste donc une pratique à faible risque.

Viennent ensuite les rapports sexuels avec une personne du même ménage, les chances d’être infecté par le virus deviennent alors plus grandes puisque l’un des partenaires pourrait avoir été infecté. De même est considérée comme la pratique sexuelle avec le plus grand risque d’infection : les rapports avec des personnes qui ne font pas partie du même ménage.

Comment réduire le risque d’infection au coronavirus ?

Les scientifiques tentent alors à ce moment de nuancer leurs propos, bien qu’ils présentent l’abstinence comme étant l’option la moins risquée, ils sont tout à fait conscients du fait que celle-ci est inenvisageable pour beaucoup de personnes. En ce sens, il leur a paru donc plus judicieux de tenter de penser à des techniques pour réduire le plus possible le risque d’infection lors d’un rapport sexuel.

Les chercheurs mentionnent en premier lieu la réduction au minimum du nombre de partenaires sexuels. En effet, plus vous côtoyez intimement de personnes, plus grand est le risque, en particulier, il est essentiel d’éviter tout contact avec des personnes présentant des symptômes ressemblant à ceux du SARS-CoV-2. Ce qui ne limite pourtant pas les risques, puisque 50 % des personnes atteintes du coronavirus ne savent pas qu’elles sont contaminées.

De plus, les baisers sont à éviter, de même que les pratiques qui présentent « un risque de transmission fécale-orale ou impliquant du sperme ou de l’urine » sont aussi à écarter. Durant un rapport sexuel, les chercheurs préconisent les partenaires à prendre une douche avant et après le rapport et notamment à porter un masque durant. Il serait aussi recommandé de nettoyer l’espace qui a été utilisé avec des lingettes désinfectantes ou avec du savon.

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